L aTElIER tROMpeTTe du sang indien dans les veines
Il est dans ses pensées , entrain de se convaincre qui hallucine quand son attention est attirée par des voix.
Il sapproche discrètement derrière les arbres en direction des voix.
Et là dans une petite clairière à lendroit ou le « grand fleuve » forme un delta se tient un groupe dhomme.
La première chose quil le surprend cest quils sont complètement habillés, certains sont recouvert de vêtements fait dune matière quil ne connaît pas grise et ça à lair solide (c du fer).la seconde chose qui le choque cest lodeur quils dégagent, il est à plus de dix mètres est pourtant une odeur bestiale lui perturbe les narines. Ils sont tellement sales quil ne remarque même pas quils sont blancs de peau.
Intrigués il se tapie encore plus pour observer la scène qui se déroule devant lui.
Il y 6 hommes ,5 dentre eux portent des sortes de lance dont lextrémité est fait dans la même matière bizarre que leur vêtements. Ils se tiennent debout devant une croix en bois. Le sixième au centre déclame des mots incompréhensibles :
« Moi René Robert Cavelier de La salle je prends possession de ses terres au nom de la couronne de France et de la très sainte Eglise catholique ,et la baptise Louisiane en hommage à notre grand roi Louis XIV ».Puis il se met à citer des paroles bibliques sans sens pour notre indien.
Il en assez vu. Ces prémonitions étaient vraies. Il a compris.
Désolé anéanti, il rentre dans son village pour raconter ce quil vient de voir. Tous attentifs lécoutèrent pendant des longues heures raconter ses visons du nouveau monde : « Pour notre tribut et celles de nos frères du sud du nord de louest commence la fin. Une nouvelle civilisation va venir sinstaller ici. Ceux sont des hommes qui ne respectent pas notre mère la terre ils ont peur delle. Ils croient en des dieux qui nexistent pas. Ils sont obsédés par lor et par une chose quils appellent le travail. Ils viendront nombreux aussi nombreux que les feuilles des plus grands arbres. Détruiront tout. Ici dans quelques lunes se dressa une ville qui appelleront LA NOUVELLE ORLEANS. Par tout sur le continent se dresseront des bâtiments immenses, la terre sera recouverte de pierre grise (du béton). Ce monde sera bruyant et sale. Les hommes et les femmes seront en compétition dans un but qui méchappe. Ici sera le berceau dune misère qui ne fera que grandir.
Il y aura des chefs et des esclaves. Je vous le dis notre grande nation va disparaître » . Quand il eut fini, il se leva sans rien dire.
Il les laissa assis là tous autour du grand feu discuter sur ses propos.
Il séloigna un peu leva les yeux au ciel. Pris une grande respiration pour sapaiser lesprit. Puis son regard parcourut la lisière de la foret, se posa sur chaque arbre, se ravit de toute cette beauté. La nuit était si calme si belle. Il hocha la tête tout en la secouant lair de dire non non cest pas possible et se dirigea vers sa hutte. Sur le chemin de sa hutte il se surprit à chanter un air quil ne connaissait pas dans une langue quil connaissait encore moins « Ouh ils voudraient faire du monde un grand casino .ouhh jouer au monopoly sur notre dos ...»
Si toi aussi quand tétais gamin tu préférais déjà faire lindien plutôt que le cowboy si comme moi tu pleures sur toute ces civilisations décimées,tout ce temps perdu à rien. Si tu veux etre prêt à tout déchirer à New orleans lannée prochaine, pour jouer funky dans les rues pour fumer le calumet de lafayette à wooden knee. Viendez à lartelier trompette à partir de 18 heures jusquà 20 heures.