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29/06/2007 à 14:17 par Vincent 1gson + 1/3 trompette

1 réponse

L aTElIER tROMpeTTe du sang indien dans les veines

1684 au fin fond de la foret au sud du continent américain au bord du « grand fleuve », un indien est inquiet. Depuis quelques jours il a des visions. Ce n’est pas la première fois mais cette fois ci ceux sont des visions inquiétantes qui l’assaillent. D’accord le cachiri (la boisson tradionnelle) et les écorces d’arbres sont un peu aussi responsables de cet état de fait. Mais d’habitude çà le berce dans des rêveries agréables et des pensées positives : il voit des arbres se transformer le ciel changeait de couleur,les animaux semblent lui parler…. Tout ce qu’il voit depuis quelques jours se sont des grands bâtiments gris et hideux, des villes gigantesques pleines de bruits, il voit la guerre, il voit la misère, toutes ces visions le font sombrer dans une profonde mélancolie. C’est pour çà qu’il se ballade tout seul en retrait pour essayer de trouver un échappatoire à ses craintes qui le tiraillent.
Il est dans ses pensées , entrain de se convaincre qui hallucine quand son attention est attirée par des voix.
Il s’approche discrètement derrière les arbres en direction des voix.
Et là dans une petite clairière à l’endroit ou le « grand fleuve » forme un delta se tient un groupe d’homme.
La première chose qu’il le surprend c’est qu’ils sont complètement habillés, certains sont recouvert de vêtements fait d’une matière qu’il ne connaît pas grise et ça à l’air solide (c du fer).la seconde chose qui le choque c’est l’odeur qu’ils dégagent, il est à plus de dix mètres est pourtant une odeur bestiale lui perturbe les narines. Ils sont tellement sales qu’il ne remarque même pas qu’ils sont blancs de peau.
Intrigués il se tapie encore plus pour observer la scène qui se déroule devant lui.
Il y 6 hommes ,5 d’entre eux portent des sortes de lance dont l’extrémité est fait dans la même matière bizarre que leur vêtements. Ils se tiennent debout devant une croix en bois. Le sixième au centre déclame des mots incompréhensibles :
« Moi René Robert Cavelier de La salle je prends possession de ses terres au nom de la couronne de France et de la très sainte Eglise catholique ,et la baptise Louisiane en hommage à notre grand roi Louis XIV ».Puis il se met à citer des paroles bibliques sans sens pour notre indien.
Il en assez vu. Ces prémonitions étaient vraies. Il a compris.
Désolé anéanti, il rentre dans son village pour raconter ce qu’il vient de voir. Tous attentifs l’écoutèrent pendant des longues heures raconter ses visons du nouveau monde : « Pour notre tribut et celles de nos frères du sud du nord de l’ouest commence la fin. Une nouvelle civilisation va venir s’installer ici. Ceux sont des hommes qui ne respectent pas notre mère la terre ils ont peur d’elle. Ils croient en des dieux qui n’existent pas. Ils sont obsédés par l’or et par une chose qu’ils appellent le travail. Ils viendront nombreux aussi nombreux que les feuilles des plus grands arbres. Détruiront tout. Ici dans quelques lunes se dressa une ville qui appelleront LA NOUVELLE ORLEANS. Par tout sur le continent se dresseront des bâtiments immenses, la terre sera recouverte de pierre grise (du béton). Ce monde sera bruyant et sale. Les hommes et les femmes seront en compétition dans un but qui m’échappe. Ici sera le berceau d’une misère qui ne fera que grandir.
Il y aura des chefs et des esclaves. Je vous le dis notre grande nation va disparaître… » . Quand il eut fini, il se leva sans rien dire.
Il les laissa assis là tous autour du grand feu discuter sur ses propos.
Il s’éloigna un peu leva les yeux au ciel. Pris une grande respiration pour s’apaiser l’esprit. Puis son regard parcourut la lisière de la foret, se posa sur chaque arbre, se ravit de toute cette beauté. La nuit était si calme si belle. Il hocha la tête tout en la secouant l’air de dire non non c’est pas possible et se dirigea vers sa hutte. Sur le chemin de sa hutte il se surprit à chanter un air qu’il ne connaissait pas dans une langue qu’il connaissait encore moins « Ouh ils voudraient faire du monde un grand casino….ouhh jouer au monopoly sur notre dos ...»


Si toi aussi quand t’étais gamin tu préférais déjà faire l’indien plutôt que le cowboy si comme moi tu pleures sur toute ces civilisations décimées,tout ce temps perdu à rien. Si tu veux etre prêt à tout déchirer à New orleans l’année prochaine, pour jouer funky dans les rues pour fumer le calumet de lafayette à wooden knee. Viendez à l’artelier trompette à partir de 18 heures jusqu’à 20 heures.
  • le 26/08/2007 à 05:06 par Trompette qui coule quand il ple

    Rep - L aTElIER tROMpeTTe du sang indien dans les veines



    Les indiens ne sont plus ce qu'ils furent et je sais de quoi j'écris.
    Avant, les poulets avaient des plumes, aujourd'hui, ils sortent déjà nus du cul et presque cuits.
    Voilà
    Si tous les poulets pouvaient se faire griller dés la naissance...
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