L'aRTELier TroMPeTTe .. un jouli conte pour les enfants
Il vivait dans un pays enchanté qui sappelait Gourdinland.
Ce nétait pas un pays extraordinaire les gens y était triste et de mauvaise humeur,lemblème du gourdin avait remplacé depuis peu lemblème du pipeau,partout dans les rues des hauts parleurs diffusés de la musique niaise à longueur de journée.
La musique était devenu un produit synthétique numérique plus besoin des vrais instruments.
La joulie petite trompette ne pouvait plus le supporter. Elle devenait triste comme les autres.Elle voulait se boucher les oreilles mais elle ne pouvait pas une trompette çà na pas de bras. (Doù lexpression pas de bras pas de chocolat)
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Il existait une légende qui disait quau loin, de lautre coté de la grande foret, caché derrière des montagnes, perché dans les nuages il y avait un monde extraordinaire plein de belles harmonies de jouiles mélodies ,un monde ou tous les instruments de musique étaient libres et pouvaient jouer toutes sortes de musique même de la funk !!! Ce monde magique sappelait Gogoland (Atlace abbour en terme scientifique) .Totor connaissait cette légende et même si il ne savait pas si ce monde magique existait réellement,il décida de le trouver coûte que coûte .
Mais il ne connaissait pas le chemin pour y parvenir car il fallait traverser des endroits peu surs et enchantée certains maléfiques. Cest pourquoi il alla trouver le vieux sax ténor qui mendiait à la limite de la ville.
Il le trouva juste au croisement entre la foret et la ville juste avant la barrière de barbelés qui entourés tout Gourdinland.
« Dis moi lancien connais tu le chemin pour la terre de lharmonie ? »
« Oh bien sur « dit il en toussant , dune toux sèche et aigu bizarre pour un ténor.
« Mais »continua t il « cest un chemin parsemé dembûches et de choses incroyables des endroits ou même les brigades anti harmonies nosent si rendre » il se racla la gorge avant de cracher un gros glaviot dans lequel des notes mortes gisées.
« Oui je sais « dit totor » mais je dois partir dici cest intenable, au même moment les hauts parleurs se mirent à diffuser du Lorie à fond comme pour donner lui donner raison
Le ténor redressant un peu son bec « je te le dis si tu me donne un Si »
« Très bien » répondit la trompette un peu gênée quand même.
« Au croisement des 4 chemins prends la route qui va vers le nord, coupe ensuite dans les bois jusquà une maison et là ils tindiqueront.. » tremblant il rajouta « et ma note ? »
En disant merSi ,la trompette lui donna son si,mais Totor sen foutait paske il retrouverait toutes ses notes dans le monde magique.
Aussitôt la trompette partit laissant derrière elle gourdinland ses barbelés et le vieux ténor rouillé qui continuer de tousser tousser
Totor suivait le chemin du nord bordé par la foret bien verte en cette saison.
Cétait un temps agréable qui donnait du baume au coeur de notre héros. Il sifflotait une jolie mélodie, sans un si. Quand face à lui à 200 mètres il vit arrivé en courant son ami le trombone qui criait ,mais totor avait du mal à distinguer ce quil disait paske une sorte de grondement énorme couvrait la voix,un grondement de plus en plus fort,la terre tremblait,comme si un troupeau déléphant faisait une charge. Et là il comprit ce que lui disait le trombone « Planque toi troupeau de chef dorchestre ».sans hésiter Totor sauta dans le fossé à sa gauche. Cétait moins une. Le troupeau fonçait sur le chemin, ils étaient une trentaine gros gras et suant leur grosse tete, limite hydrocéphale, était pourvu de 2 gros yeux méchants, il fallait absolument pas les regarder sinon il te repérait. Le troupeau passa en laissant une large marque de sabot dans le sol, quelques secondes plus tard on nentendait plus que la rumeur de leur chant « rifff ..riff..rif »
« houf on a eu chaud « dit le trombone , tonton pour les intimes
Le trombone si fiert si majestueux dhabitude et par naissance (cétait un peu le paon de lorchestre) avait lair tout ratatiné et fatigué, son cuivre ne brillait plus.
« Toi aussi, tu vas vers Gogoland ? »
« Oui »répondit la trompette qui le pavillon dans la terre essayait de se dégager.
Et là le trombone lui raconta pourquoi il avait fuit gourdinland. I l jouait dans un orchestre ou à cause de la nouvelle loi les instrument jouaient en play back et un jour malencontreusement il avait joué une note,du coup on lui avait fait une ablation du Mi en repressaille. Ce qui lavait décidé à fuir.
Mais finalement ils étaient content de se retrouver,et décidérent de faire le chemin ensemble.
Ils suivirent le chemin jusquau bout puis entrèrent dans les bois comme le ténor avait dit.
Ils senfoncèrent dans cette partie de la foret plus sombre .Au bout dun certain temps ils arrivèrent dans une clairière, et au milieu de cette clairière se tenait une bâtisse étrange ,une grande maison sans fenêtres ou sur le fronton de la quel un emblème de flûte était accroché. Au début ils hésitèrent croyant reconnaître lemblème pipeau , surtout quen traversant la clairière la musique de la petite maison dans la prairie raisonna tout autour deux (tin tin tin lin tint tin ),ils coururent jusquà la porte et frappèrent.
La porte souvrit. Ils entrèrent et se trouvèrent dans une sorte de grand hall ou un peu partout des bains des mini jacuzzis se fondaient dans le sol, sur les murs des voiles et des tableaux érotiques décoraient lensemble,sur certains pylônes on pouvait distinguer les initiales MDB, ils y avaient une lumière étrange entre pourpre et violet,un mélange dessences multiples s se diffusait dans lair ,cétait très agréable. Mais surtout il y avait des centaines de flûtes qui roucoulaient en regardant ces deux étrangers. Au milieu delle sur une sorte de trône, une flûte plus majestueuse que les autres leur dit « Soyez les bienvenues étrangers,nous sommes la confrérie des flûtes,nous sommes une centaines de flûtes et nous passons notre temps à nous laver et à nous coiffer .dans lattente de beaux étrangers perdus. »
A ces mots le trombone faillit en perdre la coulisse, la trompette avait le premier piston qui chauffait.
Souriantes elles dirent en chur « restez pour la nuit , nous nous occuperons de vous jusquà laube ».Qui peux résister aux chants mélodieux des flûtes ? En tout cas pas nos deux héros. Ils passèrent la nuit à parler musique ,à jouer du piston ,à coulisser dans les bains,à senduire dhuile à piston parfumé de graisse de lubrification..etc etc..Au matin les deux compères sortirent de la maison en sifflotant , ravi et le sourire niais de linstrument satisfait..
« Quelle nuit !!!pfff !!On a bien rigolé !!! » « Oui mais me parle de trop près tu sens la cocotte !!! » « Moi jai une flûte piccolo qui ma crié en suraigu dans loreille, ça ma foutu à un acouphène toute la nuit!!! » « Quelle nuit !! »« Je comprends mieux pourquoi y a une morceau qui sappelle la flûte enchantée ..Mozart a du passé par là dans sa jeunesse !! » et ils riaient et riaient encore.
Et ils sengageraient sur le chemin que leur avait indiqué les flûtes..
Après quelques minutes une étrange mélodie leur parvint à loreille.Ils sarretèrent pour mieux écouter. Ils crurent reconnaître « petite fleur » mais cétait dur car la mélodie était entrecoupé de pleurs. Curieux ils se dirigèrent vers lendroit doù provenait le son. Et là au pied dun arbre,ils virent
A SUIVRE
Nos deux héros parviendront ils à rejoindre le monde merveilleux de Gogoland ? Parviendront ils à échapper à tous les pièges vicieux que leur tend la foret ?réussiront ils à traverser les montagnes ? Se tromperont ils de chemin ,et arriveront ils en fait à gourdeland la terre de lutile ?Vous le saurez en lisant la suite ,de cette série inédite. Ou vous ferez connaissance avec avec plakoplakoplako la caisse claire sans timbre (réquisionné par la poste de gourdinland) avec tonnerre le corbeau chanteur et ses trois choristes et bien dautres en attendant viendez à lartelier trompette de 18 heures à 20 heures poursuivre laventure.
Et après ce que je viens de lire les flûtes sont les bienvenues !!!